Mû par mon expérience de musicien, enseignant, pédagogue et père, je me suis fortement intéressé à l’apprentissage de la musique par les jeunes enfants.
Il n’existe pas de lois universelles ou de méthode à suivre à la lettre, chaque enfant disposant de particularités propres mais il est néanmoins possible de dégager certaines constantes.
Je me propose donc ici de vous faire partager, sous la forme de conseils, quelques réflexions développées au fil de mon parcours.
1. FAIRE ÉCOUTER DE LA MUSIQUE À SON ENFANT
Cela peut sembler évident mais il est PRIMORDIAL DE FAIRE ÉCOUTER DE LA MUSIQUE aux enfants dès leur plus jeune âge (il est également conseillé d’en faire écouter au fœtus pendant la grossesse).
La musique fait alors partie de leur quotidien et les accompagnent dans différents moments de la journée (le réveil, pour s’endormir, pour jouer, se calmer…).
Essayez donc de leur faire écouter de façon régulière et favoriser ainsi un rapport NATUREL aux sons.
Développez une écoute DIVERSIFIÉE, tant au niveau des styles que des instrumentations, des tempi, des durées…(il est possible de créer des « playlist » à cet effet).
A ce titre, essayez au maximum de proposer à l’enfant des enregistrements sonores de QUALITÉ, que ce soit sur le plan du son (préférer par exemple les formats wave ou aiff aux formats mp3, chaine hi-fi plutôt qu’ordinateur ou tablette), ou sur le plan musical (musique classique, jazz, musiques du monde ou chansons …
par des artistes de qualité).
NB : si vous ne disposez pas de références musicales précises, n’hésitez pas à consulter des ouvrages musicologiques et élargir vôtre culture musi cale en même temps que celle de vos enfants.
Dernière réflexions sur ce point, ne pas LIMITER les enfants par des idées préconçues, ils sont capables d’écouter TOUTES les musiques.
Il n’existe pas de musiques trop simples ou trop complexes par exemple, la plasticité du cerveau des jeunes enfants leur permet d’apprécier toutes sortes de musiques et de sonorités.
N’hésitez donc pas à leur proposer des musiques denses, riches pour habituer leurs oreilles à des sonorités plus « complexes » et non pas simplement des enregistrements « soi-disant » destinés aux enfants.
A ce titre, la musique classique, notamment orchestrale est particulièrement recommandée.
Mon expérience personnelle de père, m’a permis de constater que plus l’enfant est exposé à de la musique à « haut niveau d’information » et de « qualité » (sonore et musicale), plus son appétence pour celle-ci grandit et plus son goût se développe et lui permet de créer une échelle d’appréciation basée non pas sur ce qu’affirment ou pensent d’autres personnes mais sur SON ressenti émotionnel et sa compréhension auditive.
2. CHANTER POUR SON ENFANT
Cela peut encore une fois sembler naturel pour certains (moins pour d’autres) mais il est très important de chanter pour son enfant.
Bien avant de reconnaître ses parents par leurs visages, le nouveau-né distingue les personnes qui l’entourent grâce à leurs voix et en utilisant son oreille.
Déjà in utero, le fœtus se familiarise avec les sons produits par ses parents, une mélodie interprétée par l’un deux aura donc plus de résonance chez lui qu’un enregistrement sonore.
Il est ainsi ESSENTIEL de créer un RAPPORT NATUREL de l’enfant avec les sons et la musique et quoi de mieux que la voix de ses propres parents pour le faire.
Pour ceux qui doutent de leur capacité à chanter avec une acuité suffisante, il est possible de s’entrainer en amont avec ou sans l’aide de tutoriels.
Il est par exemple conseillé d’acquérir un petit clavier ou télécharger une application à cet effet pour vérifier que les notes que l’on chante sont justes.
Choisissez des mélodies simples au début et même si ce n’est pas parfait, le plus important est de sensibiliser son enfant par une TRANSMISSION PARENTALE DIRECTE, d’autres outils prendront le relais par la suite.
3. FAIRE CHANTER SON ENFANT
Quelque soit l’âge ou le niveau d’apprentissage musical, TOUT passe d’abord par L’OREILLE.
Faire chanter les enfants est donc à ce titre FONDAMENTAL.
Cela permet D’EXTÉRIORISER les sons pour mieux les INTÉRIORISER.
Chanter (chansons, mélodies…) ou « vocaliser » (rythmes, bruits…) aide grandement l’enfant à créer NATURELLEMENT et FACILEMENT de la musique.
Il peut reproduire des sons existants et/ou en inventer selon ses envies et ses goûts . cela l’amènera à travailler sa mémoire mais aussi son imagination et sa créativité.
Ne pas porter de jugements négatifs (de types »tu chantes faux « ou « tu n’es pas en rythme »…) mais au contraire, encouragez l’enfant à s’exprimer à travers les sons, les progrès viendront naturellement avec le plaisir.
A ce stade, le but premier est de développer le lien entre l’enfant et la musique, sans contraintes, sans pression et avec BIENVEILLANCE.
4. ACQUÉRIR DES INSTRUMENTS POUR SON ENFANT
N’hésitez pas à acquérir, louer ou vous faire prêter des instruments.
Sans se ruiner, il est possible de trouver des instruments d’occasion ou peu onéreux et de proposer à l’enfant de les découvrir.
Clavier de toutes sortes, xylophone, flûtes, harmonica, mélodica, ukulélé, guitare, percussions, voici quelques exemples d’instruments faciles d’accès et qui permettront à l’enfant d’exercer sa créativité.
Il est souhaitable pour les parents de prendre des renseignements sur le fonctionnement de certains instruments et de les transmettre à l’enfant.
Une fois l’aspect technique compris, il pourra d’autant plus s’amuser et créer.
Privilégiez la qualité à la quantité, mieux vaut quelques « vrais » instruments possédant une bonne sonorité, qu’une multitude de « jouets » mal accordés, inaccordables et/ou de piètre qualité.
Que ce soit pour les instruments ou les enregistrements sonores, plus la source est de qualité plus l’enfant en bénéficiera.
Dernière remarque sur ce sujet, je conseille fortement de placer ces instruments au milieu des jouets habituels de l’enfant, ils feront ainsi plus aisément partis du quotidien de l’enfant.
Pour l’anecdote, mon fils a passé ses quatre premières années avec un petit clavier dont il ne se départissait quasiment jamais, que ce soit en voiture, en voyage…
5. JOUER DES INSTRUMENTS AVEC SON ENFANT
Suite au point précédent, une fois les instruments acquis, il est également important pour les parents de JOUER avec l’enfant.
Nous ne parlons pas ici de montrer quelque chose de précis mais simplement de créer de manière collective.
L’enfant prendra souvent un grand plaisir à participer à une activité avec ses parents « d’égal à égal », tous au même niveau, sans hiérarchie.
Ce plaisir simple peut amener l’enfant à être plus attentif, plus imaginatif et aussi à pouvoir se concentrer pus longtemps.
Les parents n’ont à cet égard pas besoin d’être des instrumentistes chevronnés, il faut juste s’autoriser à « jouer », au premier sens du terme, et laisser parler sa créativité.
Voici quelques exemples de « jeux » musicaux à faire avec son enfant mais libre à chacun d’en inventer d’autres :
créer une sonnerie de téléphone (à l’aide de sons, percussions…) et l’enregistrer.
Créer une chanson simple (couplet/refrain).
Créer la musique d’une petite pièce de théâtre ou d’une histoire.
Filmer une vidéo et créer la musique correspondante.
6. FAIRE JOUER SON ENFANT SUR DES ENREGISTREMENTS SONORES
Suite aux deux conseils précédents, il est également intéressant de proposer à l’enfant de jouer sur des enregistrements sonores.
Choisir des musiques que l’enfant apprécie et le faire jouer avec différents instruments (percussions, instruments mélodiques, harmoniques).
L’enfant peut essayer d’imiter certains sont entendus mais il peut aussi inventer ou trouver de compléments à la musique.
Ainsi, après avoir écouté puis joué, il prendra l’habitude de faire les deux simultanément.
Il développera son écoute, sa concentration, son sens du rythme et de la forme.
Encore une fois, pensez à encourager et à valoriser l’enfant dans ce processus, ne pas réfléchir en terme de résultats (sonores ou autres) mais en terme de sensibilisation et de progression.
Le but est toujours pour l’enfant de découvrir et de créer un lien avec les sons et la musique.
7. APPRENDRE LES NOTES À SON ENFANT
Une fois les points précédents expérimentés, il est recommandé d’apprendre les notes de la gamme de Do majeur (do ré mi fa sol la si ) à l’enfant (pourquoi Do majeur ? Car c’est la gamme la plus employée dans la musique occidentale).
Les parents ne disposant pas de connaissances musicales, ne doivent pas hésiter à se renseigner sur la théorie musicale (il existe un très grand nombre de tutoriels à cet effet, disponibles gratuitement sur internet).
Cet apprentissage peut s’effectuer à l’aide d’un clavier, d’un xylophone, de cloches Montessori ou autre…
Pour l’anecdote (deuxième), c’est grâce à des cloches Montessori que je me suis rendu compte que mon fils alors âgé de trois ans, possédait la capacité de reconnaître et de nommer n’importe quel son.
L’utilisation de couleurs peut également permettre une identification et une mémorisation des notes plus aisées.
Il suffit d’assigner une couleur pour chacune des notes de la gamme (exemple, Rouge pour la note Do, orange pour le ré…).
Voici une série d’exercices pouvant aider l’enfant à se familiariser avec les notes de la gamme de Do majeur :
jouer une note et la faire chanter par l’enfant.
Faire mémoriser les notes de la gamme à l’aide de couleurs (comme mentionné ci-dessus).
Présenter une couleur à l’enfant et lui demander le nom de la note correspondante et/ou de la chanter
Proposer à l’enfant de créer une mélodie à l’aide de couleurs et lui faire chanter le résultat.
Répétez ces exercices au maximum, non pas dans la durée (l’enfant se fatiguera rapidement) mais en terme de fréquence et ainsi habituer l’enfant au son de chaque note.
8. EMMENER SON ENFANT ÉCOUTER DE LA MUSIQUE « LIVE »
Il est nécessaire qu’en plus de jouer et d’écouter de la musique sur des enregistrements sonores, l’enfant assiste à des concerts.
Il existe de nombreux lieux et évènements pour cela, salle de concerts, festivals, spectacles de rue, églises, médiathèques, spectacles jeunesse…
Vérifiez simplement que le volume sonore est adapté pour les enfants (toujours se munir de protections auditives).
Comme pour les enregistrements sonores, il n’y a pas de limite à ce que l’enfant peut écouter, tant au niveau du style que de l’instrumentation ou de la densité.
Voire et entendre de la musique se créer en direct peut lui permettre de mieux appréhender les formes musicales (chanson, opéra, blues…), de visualiser le fonctionnement mécanique de certains instruments (le trombone à coulisse par exemple…), de percevoir le côté ludique de la pratique instrumentale et enfin d’une manière générale de ressentir les vibrations sonores crées par la musique et de s’imprégner de toutes ces sonorités.
C’est souvent lors d’une représentation ou d’un concert, qu’un instrument va attirer l’enfant par sa sonorité, sa forme, sa fonction dans l’orchestre…et qu’il choisira par la suite d’en poursuivre l’étude.
Cette expérience répétée à plusieurs reprises peut réellement compléter la formation de l’enfant et aiguiser encore son goût pour la musique.
9. FAIRE PARTICIPER SON ENFANT A DES SÉANCES D’ÉVEIL MUSICAL
Une fois les conseils proposés mis en place (complètement ou en partie) et que vôtre enfant manifeste l’envie d’approfondir sa connaissance de la musique (par le jeu, l’écoute ou la pratique), n’hésitez pas à lui proposer des séances d’éveil musical.
Il existe de nombreuses structures avec des méthodes différentes, proposant des cours d’éveil musical.
Renseignez-vous et participez à un cours d’essai pour voir si la pédagogie, l’enseignant…correspondent au fonctionnement de vôtre enfant.
C’est une activité destinée aux jeunes enfants de 0 à 6 ans qui s’est fortement développée ces dernières années et c’est toujours bénéfique de pouvoir immerger son enfant dans un « bain musical » dès son plus jeune âge.
Par l’intermédiaire de jeux et d’activités ludiques, les enfants développeront leur oreille musicale, leur écoute, leur coordination et découvriront de nombreux instruments sous l’œil attentif d’un professionnel.
10. TROUVER UNE ÉCOLE DE MUSIQUE OU UN PROFESSEUR PARTICULIER
De même que pour l’éveil musical, si vôtre enfant manifeste l’envie de jouer d’un instrument (en général ou de manière spécifique), prenez contact avec une école de musique ou un professeur particulier.
Encore une fois, renseignez-vous et faites des essais.
Si l’enfant n’est pas sûr de son choix, il est possible dans un premier temps de louer des instruments.
Privilégiez les structures ou les enseignants avec une pédagogie PROGRESSIVE et PERSONNALISÉE.
Recherchez un enseignement de qualité mais dans un cadre BIENVEILLANT et chaleureux (les notes, concours, et autres cycles sont plutôt à éviter pour les jeunes enfants et même les plus âgés d’ailleurs).
La musique n’est pas une compétition, elle doit être et rester un plaisir, il est avant tout souhaitable d’amener les enfants à progresser à leur rythme en les accompagnant mais sans les juger.
CONCLUSION :
Ces quelques conseils que je me suis proposé d’expérimenter ne constitue en aucun cas un plan à suivre rigoureusement et vous permettrons plutôt de vous guider et de vous aider à trouver les solutions les plus adaptées à vôtre enfant.
Essayez toujours de COMMUNIQUER (de manière verbale, musicale ou autre) avec l’enfant et soyez ATTENTIFS à ses réponses.
Il est essentiel que les parents s’investissent dans ce processus pour permettre à l’enfant d’en tirer le plus de bénéfices possibles.
L’enfant ne pourra progresser et s’épanouir dans la musique sans la PRÉSENCE et L’ACCOMPAGNEMENT de ses parents.
Damien Ossart
Cette leçon en 4 points, utilisable et valable dans toutes les situations et à tous les niveaux, vous aidera à maximiser votre temps de travail et à progresser plus facilement !
Les 4 étapes qui vont être développées dans cet article, bien que proposant une approche logique et progressive du travail de la musique, sont trop souvent négligées ou incorrectement mises en place.
Voici donc une méthode simple et très efficace pour enfin disposer des clefs vous permettant d’obtenir les résultats que vous espérez !
Le premier point capital est l’ECOUTE.
Il est absolument nécessaire d’écouter de manière attentive et prolongée la musique que vous souhaitez jouer.
L’écoute est la clef de voute de tout apprentissage musical.
Que ce soit pour apprendre un morceau, un solo, des accords, des rythmes…il faut être certain, avant de prendre son instrument, d’avoir bien écouté et entendu ce que vous désirez travailler.
Pour un travail efficient, il est nécessaire d’avoir une image auditive claire de ce que vous allez jouer.
Plus cette image est précise, plus le travail portera ses fruits.
Ne jouez JAMAIS quelque chose que vous n’avez pas bien écouté, vous allez perdre un temps précieux et limiter vos progrès.
Prenez donc du temps pour écouter la musique et votre apprentissage en bénéficiera grandement !
Après l’écoute, le point suivant est le CHANT, je ne parle pas ici d’apprendre à chanter, mais plutôt d’arriver à vocaliser les formules musicales que l’on souhaite maîtriser.
Une fois que vous avez écouté en profondeur, il vous faut maintenant chanter.
Que ce soit une mélodie, des accords, des rythmes, vous devez être capable de les chanter ou de les vocaliser.
Peu importe le timbre de la voix, il est simplement nécessaire d’être juste et d’avoir la meilleure mise en place possible.
Chanter, vous permettra d’extérioriser les sons pour mieux les intérioriser !
C’est une étape clef dans votre développement musical.
La musique s’exprime d’abord par l’oreille et votre « chant intérieur » pour ensuite se matérialiser sur l’instrument.
Ne JAMAIS jouer quelque chose que vous ne pouvez pas chanter.
Si vous ne pouvez pas le faire, c’est que votre perception auditive n’est pas encore assez précise, une seule solution : ECOUTEZ !!
Essayez par exemple, lorsque vous voulez travailler un solo, de prendre votre instrument seulement une fois que vous arrivez à le chanter dans son intégralité.
Pour jouer d’un instrument, il est donc essentiel de chanter !
1, 2, 3…CHANTEZ !!!
La troisième étape est le fait de réussir à mimer ce que vous désirez jouer.
Cela peut paraître inhabituel voire surprenant mais c’est néanmoins un autre point clef dans cet apprentissage.
Une fois les deux étapes précédentes maîtrisées, il vous faut maintenant mimer, c’est à dire effectuez les mouvements que vous feriez sur votre instrument, mais dans le vide.
Que ce soit pour le piano, la guitare, le saxophone ou tout autre instrument, essayez de reproduire votre gestuelle en mimant une partie musicale donnée.
Cela vous aidera à développer la connexion entre votre oreille et vos mains et à mieux visualiser les sons sur votre instrument.
N’hésitez pas à chanter en même temps, ainsi vous n’essaierez pas d’entendre ce que vous jouez mais de jouer ce que vous entendez, la différence est fondamentale !
Essayez par exemple de chanter un fragment musical et d’instantanément mimer les doigtés. Vous avez réussi ? Bravo votre connaissance des sons sur votre instrument s’est ainsi déjà grandement améliorée !
Dernière étape, il est maintenant temps de jouer !
Une fois les trois autres points travaillés, il vous suffit de jouer.
Si vous maîtrisez les différentes étapes, à savoir, écoutez, chantez, mimez, la dernière n’est plus qu’une formalité.
Vous avez mis tous les éléments en place pour que la pratique effective de l’instrument se déroule naturellement.
Vous entendez ce que vous allez jouer, vous pouvez le chanter et le mimer, le jouer se fera avec facilité.
Trop souvent, ces étapes ont été négligées ou pas travaillées en profondeur, le résultat est une mise en pratique plus longue, plus difficile et plus fastidieuse, pouvant provoquer une progression ralentie, un jeu imprécis et une baisse de motivation.
Lorsque les points clefs n’ont pas été assimilés, vous allez passer directement à la pratique et inévitablement vous allez rater, rater et rater encore !
Il vous faudra un temps considérablement plus long pour arriver à exécuter une pièce de musique donnée.
Vous apprenez donc à échouer car tous les éléments nécessaires à la réussite ne sont pas présents.
Ce n’est pas que vous ne pouvez pas y arriver, c’est que vous n’employez pas les bonnes solutions !
En utilisant cette méthode simple, vous allez apprendre à réussir !!
Un dernier point avant de conclure :
-Concernant le temps à passer sur chaque étape de ce processus, c’est à chacun de le définir selon son niveau et ses objectifs.
-Je vous conseille cependant, contrairement à ce que certains pourraient penser, de passer le plus de temps à écouter, puis un peu moins à chanter, un peu moins à mimer et un peu moins à jouer et non le contraire.
-Cela participera à une pratique plus efficiente et donc plus enrichissante.
Ces 4 éléments simples sont donc à mettre en pratique dans votre travail au quotidien et ils s’appliquent à toutes les situations musicales.
Damien Ossart